samedi 28 février 2009

Blagues d'Avocats

Dans une affaire qui se déroule dans une banlieue, le procureur appelle son premier témoin à la barre, une grand-mère très âgée.

Il s'approche d'elle et lui demande : Mme Jeanne, me connaissez-vous?

Elle répond : "Oh! Oui je vous connais Me Williams. Je vous connais depuis votre enfance et sincèrement vous me décevez beaucoup. Vous êtes un grand menteur, vous trompez votre femme, vous manipulez les gens et vous êtes un médisant et un calomniateur. Vous pensez être "un big shot" alors que vous ne pouvez réaliser que vous n'êtes qu'une mauviette et que vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez. Oh! Oui je vous connais"

L'avocat surpris, ne sachant que faire, pointa l'autre avocat du doigt et demanda. " Mme Jeanne connaissez-vous l'avocat de la défense?"

Elle répondit : "Bien sur que le connais. Je connais Me Richard depuis qu'il est tout jeune. Il est paresseux, obèse et il est alcoolique. Il ne peut pas avoir de relation normale avec quiconque et il est l'un des pires avocats de toute la zone. Non seulement il a trompé sa femme avec 3 femmes différentes et l'une d'entre elles est votre femme. Oh! Oui je le connais"

L'avocat de la défense était au bord de l'évanouissement.

Le juge demanda aux 2 avocats d'approcher de la barre, et avec un voix très calme, il leur dit "Si l'un d'entre vous demande à cette vieille si elle me connaît je vous envoie tous deux pourrir en prison pour complot."

Blagues d'Avocats

Pourquoi faire de la traduction juridique?

Le père à son fils : « Je te donne une orange. »
L'avocat à son fiston (avec effets de manches) : « Avis est par les
présentes donné que je, maître papa, donne, cède, concède, vends, remets, transmets, transfère et abandonne tous mes droits, titres, intérêts, avantages et toutes autres capacités de jouissance quelconque concernant, visant ou touchant ce bien mobilier, autrement connu sous le nom d'orange ou citrus aurantium, ainsi que toutes ses appartenances, circonstances et dépendances telles que peau, chair, pépins, pelure, graines et jus, à toi, mon fils présumé, c’est-à-dire, eu égard aux circonstances particulières de l'espèce et selon la prépondérance des probabilités, l'enfant de sexe masculin né de l’union de fait de ma conjointe avec le conjoint de ta mère ­ en l’occurrence et sauf erreur, moi (du moins, l’espère-je) ­, pour usage en propre ou en ton nom, ainsi qu'à tes héritiers, descendants et ayants droit, en toute propriété et pour tous temps à venir, libre de toute charge, servitude, limitation, restriction ou quelconque condition, nonobstant tout acte, document, convention ou autre instrument antérieurs de quelque nature que ce soit fait, signé ou validé maintenant ou n'importe où et portant un effet contraire, et ce, avec pleine autorisation de croquer, couper, sucer ou autrement consommer la dite orange ou encore de l'aliéner au profit d'un tiers à titre gratuit ou onéreux avec ou sans la peau, la chair, les pépins, la pelure, les graines ou le jus. »